Accompagner la perte d'autonomie
Accompagner la perte d’autonomie. Le proche -aidant professionnel ou non, le proche aidant ou l’aidant naturel ou encore l’aidant familial, contribue à faciliter la vie de la personne en perte d’autonomie en lien avec une déficience mentale physique, un handicap. Il contribue à améliorer la qualité de vie de l’aidé par le biais d’aides diverses et n’est pas rémunéré pour sa contribution. Toutefois il dispose de droits : De nombreuses plateformes d’accompagnement, d’informations, d’écoutes ou associations sont de vrais supports. De plus il peut bénéficier d’un « répit » d’une durée de 3 mois fractionné. Et aussi d’une consultation annuelle préventive. Des aides techniques et financières peuvent être mises en place en adéquation avec les besoins de l’aidant et de l’aidé. Plus le niveau GIR de l’aidé est important plus le montant de l’aide financière est adaptée. Celle-ci diffère selon que le patient souffrant est pris en charge à domicile ou en structure. Fixée par la MDPH, (Maison Départementale des Personnes Handicapées), cette aide n’est pas du luxe et nécessite l’envoi d’un dossier de demande d’APA (Aide pour la Perte d’autonomie). Pour accompagner l’aidant, on peut proposer : - un accompagnement individuel psychothérapeutique, - l’éducation thérapeutique - les groupes de parole.
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