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La santé de notre cerveau : la neuro-plasticité

Pour optimiser la santé de notre cerveau l’activité sportive est un véritable remède qui favorise le bon fonctionnement de notre mémoire. Nous sommes confrontés aux AVC, AIT, MND... dans le processus de sénescence, si il y a encore quelques années ces pathologies faisaient frissonner, aujourd’hui nous avons appris à travailler avec nos capacités restantes pour maintenir et développer notre capital autonomie au cours des activités de la vie quotidienne. Tout apprentissage permet de créer de nouvelles connexions neuronales. La stimulation cognitive, passage obligé dans le processus de rééducation, en favorisant la création de nouveaux réseaux de connexions restaure nos capacités. En neuroscience, il est question de « plasticité neuronale » : oui notre cerveau face à la perte d’un réseau va être capable de créer une nouvelle trajectoire, d’utiliser un nouveau réseau pour assurer la fonction altérée. Ces connexions sont établies par les synapses et ce réseau de connexions favorise la restructuration de notre cerveau lors d’atteintes ou de lésions des pathologies Alzheimer, Parkinson, SEP, AVC... A tout âge notre cerveau se modifie en créant des connexions nouvelles même au grand âge. Il fonctionne comme un système où chaque zône est capable de rééquilibrer l’ensemble. Notre cerveau s’adapte à un nouvel environnement par de nouveaux aménagements, en compensant la fonction défaillante. Quelle entraide insoupçonnée là- dedans. Des ressources inimaginables... C’est pourquoi il est important de suivre un programme de rééducation dès l’apparition de troubles ou de lésions. De nombreuses activités et exercices vont développer ce système compensatoire. La perte de mémoire stimulée favorise le stockage de l’information et une personne qui suite à une lésion cérébrale a perdu cette capacité mnésique peut récupérer très rapidement. Plus la prise en charge est précoce et plus les troubles trouveront une issue positive. L’objectif étant de limiter l’installation d’un processus irréversible par inactivité. On comprend donc l’impact des mesures du COVID 19 sur les personnes atteintes et le désavantage occasionné par le manque de stimulation.Pour optimiser la santé de notre cerveau l’activité sportive est un véritable remède qui favorise le bon fonctionnement de notre mémoire. Nous sommes confrontés aux AVC, AIT, MND... dans le processus de sénescence, si il y a encore quelques années ces pathologies faisaient frissonner, aujourd’hui nous avons appris à travailler avec nos capacités restantes pour maintenir et développer notre capital autonomie au cours des activités de la vie quotidienne. Tout apprentissage permet de créer de nouvelles connexions neuronales. La stimulation cognitive, passage obligé dans le processus de rééducation, en favorisant la création de nouveaux réseaux de connexions restaure nos capacités. En neuroscience, il est question de « plasticité neuronale » : oui notre cerveau face à la perte d’un réseau va être capable de créer une nouvelle trajectoire, d’utiliser un nouveau réseau pour assurer la fonction altérée. Ces connexions sont établies par les synapses et ce réseau de connexions favorise la restructuration de notre cerveau lors d’atteintes ou de lésions des pathologies Alzheimer, Parkinson, SEP, AVC... A tout âge notre cerveau se modifie en créant des connexions nouvelles même au grand âge. Il fonctionne comme un système où chaque zône est capable de rééquilibrer l’ensemble. Notre cerveau s’adapte à un nouvel environnement par de nouveaux aménagements, en compensant la fonction défaillante. Quelle entraide insoupçonnée là- dedans. Des ressources inimaginables... C’est pourquoi il est important de suivre un programme de rééducation dès l’apparition de troubles ou de lésions. De nombreuses activités et exercices vont développer ce système compensatoire. La perte de mémoire stimulée favorise le stockage de l’information et une personne qui suite à une lésion cérébrale a perdu cette capacité mnésique peut récupérer très rapidement. Plus la prise en charge est précoce et plus les troubles trouveront une issue positive. L’objectif étant de limiter l’installation d’un processus irréversible par inactivité. On comprend donc l’impact des mesures du COVID 19 sur les personnes atteintes et le désavantage occasionné par le manque de stimulation.Pour optimiser la santé de notre cerveau l’activité sportive est un véritable remède qui favorise le bon fonctionnement de notre mémoire. Nous sommes confrontés aux AVC, AIT, MND... dans le processus de sénescence, si il y a encore quelques années ces pathologies faisaient frissonner, aujourd’hui nous avons appris à travailler avec nos capacités restantes pour maintenir et développer notre capital autonomie au cours des activités de la vie quotidienne. Tout apprentissage permet de créer de nouvelles connexions neuronales. La stimulation cognitive, passage obligé dans le processus de rééducation, en favorisant la création de nouveaux réseaux de connexions restaure nos capacités. En neuroscience, il est question de « plasticité neuronale » : oui notre cerveau face à la perte d’un réseau va être capable de créer une nouvelle trajectoire, d’utiliser un nouveau réseau pour assurer la fonction altérée. Ces connexions sont établies par les synapses et ce réseau de connexions favorise la restructuration de notre cerveau lors d’atteintes ou de lésions des pathologies Alzheimer, Parkinson, SEP, AVC... A tout âge notre cerveau se modifie en créant des connexions nouvelles même au grand âge. Il fonctionne comme un système où chaque zône est capable de rééquilibrer l’ensemble. Notre cerveau s’adapte à un nouvel environnement par de nouveaux aménagements, en compensant la fonction défaillante. Quelle entraide insoupçonnée là- dedans. Des ressources inimaginables... C’est pourquoi il est important de suivre un programme de rééducation dès l’apparition de troubles ou de lésions. De nombreuses activités et exercices vont développer ce système compensatoire. La perte de mémoire stimulée favorise le stockage de l’information et une personne qui suite à une lésion cérébrale a perdu cette capacité mnésique peut récupérer très rapidement. Plus la prise en charge est précoce et plus les troubles trouveront une issue positive. L’objectif étant de limiter l’installation d’un processus irréversible par inactivité. On comprend donc l’impact des mesures du COVID 19 sur les personnes atteintes et le désavantage occasionné par le manque de stimulation.


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